•  Une par une, à la suite, mélangées, ... les différentes phases du deuil surviennent rarement de façon coordonnée. Voici les 5 situations auxquelles vous risquez de faire face et que vous devez connaitre afin de mieux vous y préparer.

     Le déni

     Il est parfois difficile de comprendre une situation qui nous tombe sur la tête et que l’on n’a pas choisie. Le premier réflexe est de se persuader que l‘entreprise ou le DRH a fait une erreur. Et souvent les questions qui viennent en tête sont :

    "J'ai peut-être mal compris ?"

    "Si je laisse passer 2/3 jours, ils vont peut-être trouver une solution ?"

    "Ils ont dû faire une erreur, ça ne peut pas m'arriver à moi !", etc.

     

    Même si le moment est très difficile, le plus important est de poser toutes les questions qui vous passent par la tête :

     

    Pourquoi moi ?

    Qui va me remplacer ?

    Quand est-ce-que mon contrat s’arrête ?

    Qui va me donner tous les papiers ?

    Quelles sont les étapes ?

    Quand dois-je aller à Pôle Emploi ?

    Au bout de combien de temps vais-je recevoir mes allocations chômage" ?", etc. 

     

     

    La colère

    La colère arrive lorsque l'on prend la mesure de la perte de son emploi et de toutes les conséquences. On sait qu’il n’y aura pas de retour en arrière et un sentiment d'animosité surgit :

    Qu'est-ce que j'ai fais pour mériter ça ?

    Ces gens sont odieux ! Ils ont mal géré la société, c'est de leur faute !".

    La phase de colère peut durer plusieurs jours. C’est le moment où l'on commence à extérioriser ses souvenirs mais aussi ses rancoeurs auprès des personnes avec qui l’on peut échanger, ses collègues ou ses proches. Si les mots veulent sortir ne les contenez pas. Parlez ! Mais pensez quand même à protéger aussi certaines personnes qui sont peut-être plus fragiles comme les enfants et qui ne peuvent pas comprendre la situation que vous traversez. 

    L'enquête


    La phase de colère débouche sur la phase de marchandage et de recherche du coupable. A qui revient la faute ? Cette phase normale permet à notre ego de reprendre un peu le pouvoir sur cette situation. Qui plus est, dans notre contexte économique, beaucoup de personnes licenciées ne sont pas directement responsables de la perte de leur emploi.

    La crise pousse au chômage des milliers de personnes qui ont toujours bien fait leur travail. 


    La tristesse

    Le monde s'écroule. On se souvient du temps où l'on se plaignait de ce travail et on s'aperçoit maintenant qu'il était très bien. On regrette les bons jours, les moments agréables, la sécurité, les avantages. Les relations avec ses anciens collègues qui ne seront plus jamais les mêmes et qui disparaitront pour certaines. Un sentiment de solitude, de désespoir peut nous envahir et nous désespérer. Si cette phase est nécessaire et bénéfique, le plus difficile est de faire en sorte qu'elle soit la plus courte possible. Afin de passer à la dernière étape. 

     

    L’acceptation

     

    D'accord ! Maintenant je suis au chômage !

     

    Il est nécessaire d'admettre cette situation : la perte de l’emploi.Faire le deuil peut prendre plus ou moins de temps en fonction de votre personnalité. Mais c’est une étape nécessaire, indispensable avant de commencer une nouvelle vie. Une fois cette idée acceptée, votre esprit va pouvoir passer à autre chose et se concentrer sur un nouveau projet.

     Votre nouvelle mission sera maintenant la recherche d'un nouveau travail.

     

    Les déclarations administratives

     Concrètement, avant de rechercher un nouveau travail, il faut d'abord faire les démarches administratives liées à son ancien poste. Lorsque vous quittez votre emploi, votre ancien employeur doit obligatoirement vous remettre :

    - Votre dernière fiche de paie avec votre solde de tout compte.

    - Votre certificat de travail.

    - Votre attestation pour Pôle Emploi.

     

    Les déclarations à Pôle Emploi

     

    La première chose à faire est d’appeler les services de Pôle Emploi pour déclarer que vous avez été licencié. Pôle Emploi va alors organiser un rendezvous afin de vous inscrire.

    Il faut absolument se présenter à ce rendez-vous. Vous allez d’abord avoir un premier entretien pendant lequel un premier conseiller va effectuer toutes les démarches pour vous inscrire comme demandeur d’emploi.

    N’oubliez pas de prendre avec vous vos papiers d’identité, votre dernière fiche de paie, votre solde de tout compte, votre certificat de travail, votre attestation pour Pôle Emploi et votre curriculum-vitae (CV). Vous recevrez un document indiquant le montant et la durée de vos allocations chômage.

     Vous allez ensuite rencontrer un second conseiller qui va créer votre profil dans le fichier Pôle Emploi avec votre CV, vos compétences et la liste des métiers que vous pouvez exercer. Cette étape est très importante car ce profil va vous suivre tout au long de votre recherche d’emploi et en fonction des informations enregistrées, vous recevrez des offres d’emploi qui correspondent plus ou moins bien à votre profil et à vos souhaits.

     Ce premier rendez-vous peut prendre plusieurs heures donc ne prévoyez rien pour pouvoir faire toutes ces formalités même s’il y a du temps d’attente.

     

    Faire le tri !

     

    Une fois ces démarches effectuées, vous allez pouvoir repartir du bon pied et passer à un nouveau projet. Tout comme on ne commence pas une recette sur une table encombrée, commencez par faire le tri ! Commencez un grand nettoyage : rangez vos papiers, réorganisez votre appartement ou maison, jetez tout ce qui inutile ou gênant, bougez les meubles, faites votre jardin, etc.

     Ne commencez pas de lourds travaux mais attelez-vous à des petites tâches courtes et faciles. Ces deux ou trois jours vous permettront de faire le vide et vous préparer pour l’avenir sans être encombré par le passé.

     Quelques conseils pour être rapide et efficace :

    - jetez ou recyclez tout ce dont vous ne vous êtes pas servi depuis 2 ans

    (les vieux verres ébréchés dans le placard, les vieux vêtements, les objets cassés, ...)

    - rangez tout à la bonne place : regroupez tous les couteaux dans le même tiroir, mettez tous les médicaments dans une même boîte, rangez tous les produits de beauté dans la salle de bain, etc.

     -mettez des étiquettes sur les boîtes de rangement ainsi vous savez tout de suite ce qu’il y a dedans même 6 mois après.

    - gardez un seul endroit pour mettre le petit bazar à ranger comme le courrier qui arrive.

    - Fixez vous des objectifs à court terme :

    -je vais ranger ce placard en une heure !

    -Demain je nettoie la cuisine !

     

    C’est aussi une bonne manière de préparer sa maison et sa famille à la nouvelle vie qui va arriver avec le nouveau travail que vous allez trouver. Un environnement sain et organisé sera la transposition physique et matérielle de votre mental.

     

    Extrait du Guide de Survie 2013 Edité par © 2014, QAPA SA - All rights

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  • Le Conseil constitutionnel vient de valider l’essentiel de la loi sur les contrats de génération, une promesse de campagne de François Hollande. Ce dispositif doit permettre de favoriser l’embauche des jeunes tout en maintenant les seniors dans l’emploi. Une urgence au regard des derniers chiffres publiés par l’Insee.

    Si le recul de l’âge de départ à la retraite a fortement accru le taux d’emploi des seniors en France depuis juillet 2011, il reste difficile d’être actif après 55 ans en France. Tel est le constat dressé par l’institut dans l’étude "Emploi et salaires 2013" publiée mercredi 6 mars. Le taux d’activité des seniors est particulièrement faible, constate l'Insee : "La France se distingue par un ‘décrochage’ particulièrement marqué de la participation au marché du travail à partir de l’âge de 55 ans" peut-on lire dans l’étude. A noter que les hommes sont plus touchés que les femmes par le phénomène.

    Le mauvais élève de l'Europe ?

    A l’échelle européenne, la France se place en queue du peloton avec un taux d’emploi des 55-64 ans de 39,7 % quand la moyenne de l’Union européenne à 27 est de 46,3%. Dans le détail, en Allemagne, ce taux atteint 57,7%. Au Royaume-Uni, il est de 57,1% et il atteint 70,5% en Suède !

    La France se situe également en dessous du niveau de l’Espagne (43,6%), du Portugal (49,2%) et de la Grèce (42,3%). Seule l’Italie fait moins bien (36,6%) dans les pays proches, avec la Belgique (37,3%) et le Luxembourg (39,6%). Pas de quoi se réjouir.

    Entre 2008 et 2011, le taux de chômage des 55-64 ans a fortement progressé en France. Il est légèrement inférieur à la moyenne européenne toutefois (6,5% contre 6,7 dans l’UE 15). "Le taux de chômage est structurellement plus bas pour les personnes de 55 à 64 ans que pour les personnes plus jeunes, en partie à cause des dispositifs de retrait d’activité existant à ces âges, mais aussi du poids relativement important dans cette tranche d’âge des indépendants et, pour les salariés des emplois stables", précise l’étude.

    Recul de l'âge minimal de dispense

    Au-delà du constat, quelles sont les raisons qui expliquent ce fameux décrochage? L’Insee distingue deux époques où le législateur a modifié la donne. D'abord les années 80 et 90 avec le développement des préretraites et le passage de 65 à 60 ans de l’âge légal de la retraite (en 1983). Puis, ces dernières années, la crise économique et la fin des dispenses de recherche d’emploi. Depuis le 1er janvier 2009, l’âge minimal pour bénéficier de la dispense de recherche d’emploi a été progressivement relevé, de 57 à 60 ans. Du coup les seniors sans emploi ont été plus nombreux à être classés comme chômeurs au sens du BIT.

    Parmi les 55-59 ans qui n’ont pas d’emploi, soit 1,4 million de personnes en France, 30% d’entre elles ne souhaitent pas travailler par ce qu’ils sont soit retraités, préretraités ou dispensés (13%), soit dans une autre situation d’inactivité - invalidité, au foyer - (17%). Par contre, seulement 6,4% souhaitent travailler, une proportion en augmentation de 2,1% depuis 2008. Dans cette catégorie, on retrouve principalement des anciens ouvriers ou employés qui ont exercé une activité régulière.

    La bonne nouvelle dans cette histoire, c’est que le taux de retour à l’emploi des chômeurs quinquagénaires progresse. Pour les 50-54 ans, il est de 27% sur la période 2009-2011 (contre 23% entre 2004 et 2008). Quant aux 55-59 ans, le taux atteint 11 % (contre 8 % respectivement). Mais la précarité est de mise. Pour cette dernière catégorie, la moitié de ceux qui ont retrouvé un emploi salarié travaillent en contrat temporaire (CDD, intérim). 56% travaillent à temps partiel. Et cette proportion augmente avec l’âge.


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  •  La traditionnelle lettre de motivation laisse aujourd'hui la place à un mail qui accompagne l'envoi du CV.

     Conseils pour mettre toutes les chances de votre côté.

      Adresse et objet du mail: restez sobre

     L’objet du mail: soyez précis

     Le plus important est de faire référence au poste proposé.

     Par exemple, indiquez « Préparateur / Préparatrice de travaux en industrie »

    Évitez les mentions trop floues du type "offre d’emploi", votre mail risquant de finir au panier virtuel.

    Adresse mail: pas de fantaisie « momo59@hotmail.fr ». Votre candidature ne sera pas prise au sérieux.

     Faites plutôt preuve de sobriété avec, par exemple, " mauriceleger@gmail.com".

    Dés premières lignes : soyez accrocheur

    Que faut-il écrire dans le mail lorsqu’on a un parcours professionnel de plus de vingt ans?
    Pour accrocher le recruteur, commencez votre texte par une phrase évoquant votre poste actuel ou votre dernière expérience.
    Exemple :
    "chef de ligne de production au sein de la société X depuis quinze ans, je recherche actuellement un nouveau défi professionnel. Votre offre d’emploi d’assistant auprès de la direction technique a retenu toute mon attention."

     Ensuite, ne racontez pas toute votre carrière. Contentez-vous d’un texte court, pas plus de 15 lignes maximum, irréprochable sur l’orthographe. 

    En reconversion: détaillez les compétences transférables

     Sur un marché de l’emploi encombré, se reconvertir n’est pas sans risque. Dans ce cas, le mail de motivation aura pour objectif essentiel d'expliquer en une ou deux phrases les raisons qui vous ont conduit à changer de voie.

    Puis il faudra montrer en quoi vos compétences acquises dans votre ancienne fonction peuvent avoir un intérêt dans l’exercice du poste visé.

    Exemple
    Un ancien vendeur dans l’automobile convoitant un poste de commercial dans l’immobilier pourra souligner ses compétences en matière de techniques de vente auprès des particuliers.

     

     


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  •  Pour se sortir de toutes les situations délicates, il faut que votre corps ait la capacité de réagir normalement, vite et bien. La première des choses est donc de lui fournir les éléments nécessaires à son bon fonctionnement et de satisfaire des besoins primaires.

     A. Manger et boire

                                         "Ni plus ni moins"

     Telle doit être votre devise. Inutile donc de vous gaver pendant des semaines et de prendre 10 kilos supplémentaires. Le surplus de poids ne vous aidera pas à retrouver un emploi. Une sous-alimentation sera également source de fatigue et risque de maladies.

    Il vous faut donc conserver un régime alimentaire sain et proportionné.

                   Ne sautez pas de repas...

     Il est primordial de conserver un rythme régulier et de respecter les habitudes que vous aviez avant d'être au chômage :

     - manger aux même horaires que lorsque vous étiez au travail ;

    - rendez-vous autant que possible dans les mêmes lieux en compagnie de vos amis et/ou anciens collègues ;

     - sortez le plus souvent possible et ne restez pas seul devant votre assiette chez vous à vous morfondre ;

     - conservez le même laps de temps pour vos repas et ne passez pas l'après-midi entière à table les yeux fixés sur l'horloge en attendant qu'arrive le repas du soir.

                            ...Mais n’en rajoutez pas !

    Le fait d'être au chômage peut entrainer une baisse d'activité et donc un temps disponible à combler. Le premier réflexe est de manger !

     

     Pourquoi ?

     

     S'alimenter entraine automatiquement sur l'organisme la production d'endorphine qui procure un sentiment de bien-être. Durant cette période, se sentir bien étant nécessaire, nous avons donc tendance à manger plus pour ressentir cette sensation de plaisir.

     D'où des grignotages perpétuels, des doses supérieures, des plats plus copieux et au final : une surcharge pondérale !

     Prendre du poids a un impact évident sur l'organisme mais aussi sur le mental et entraine une profonde fatigue et une baisse de l'envie de sortir, de rencontrer d'autres gens et au final un moral en chute libre.

     Faites évoluer votre régime alimentaire.

     Ici, pas question de régime amaigrissant mais bien de modifier dans le bon sens la façon de s'alimenter.

     Avec le budget dont vous disposez, efforcez-vous de compléter ou d'améliorer les aliments que vous consommez au quotidien :

     - levez-vous de bonne heure pour faire les marchés à proximité de chez vous.

     Vous rencontrerez beaucoup de personnes intéressantes et vous pourrez vous procurer des produits frais et sains souvent moins chers que dans les grandes surfaces :

     - éliminez les plats tout préparés et cuisinez le plus souvent possible. Vos repas n'en seront que meilleurs et vous aurez également la satisfaction de réaliser quelque chose de concret.

     - choisissez des fruits et légumes de saison qui, en plus du goût, vont vous apporter des éléments nutritifs actifs et renforcer vos défenses immunitaires.

    B. Dormir

     

    Quand on perd son emploi, on devient nettement plus stressé et c’est normal.

     Il est donc plus difficile de s’endormir. Il est aussi possible de faire des cauchemars, et on peut se réveiller plusieurs fois dans une même nuit.

     Or, le sommeil, c’est la santé. Voici quelques astuces pour limiter au maximum ces problèmes :

     - ne mangez pas trop le soir.

     - ne buvez pas trop non plus car l’alcool est un excitant , faites également attention si le café, le thé, les sodas, le jus d’orange sont des excitants pour votre organisme.

     - ne prenez pas de bain trop chaud.

     - évitez les films violents, les joutes oratoires politiques agressives à la télé, les jeux vidéo qui sont des empêcheurs de dormir comme un bébé.

     - si vous le pouvez, transformez votre chambre en un véritable cocon, avec une bonne couette et des oreillers tout doux.

     - réduisez la température de la chambre à 18 degrés, 20 degrés maximum.

     - ne ratez pas votre sommeil. Le sommeil a des cycles d’environ une heure trente. Si vous laissez passer un cycle, il faudra attendre le prochain. Dès que vous commencez à bailler ou que vous vous frottez les yeux, il est temps d’aller vous coucher.

     - essayez de vous coucher tous les soirs et de vous réveiller tous les matins à la même heure, comme si vous deviez aller au travail.

     - avant de vous coucher, pensez à vous relaxer : respir.z calmement et faites gonfler votre ventre quand vous inspirez.

     - vous pouvez aussi passer 5 minutes à repenser à ce que vous avez fait dans le journée et ensuite ne penser qu’à ce qui vous fait du bien : les endroits que vous aimez le plus, les plages de vos vacances, etc.

    C. Les palliatifs

     

    Etre sans emploi, ce n'est pas la fin du monde.

    Inutile donc de vous précipiter vers des produits qui peuvent vous donner l'illusion d'améliorer les choses mais qui ne sont que des leurres dangereux.

     

     La consommation de substances ne résoudra aucun problème et n'est que la manifestation d'une fuite en avant.

    Alcool, drogues et médicaments

    Qu'ils soient en vente libre ou non, les produits qui agissent sur votre état physique et mental sont à éliminer ou à consommer avec grande modération et parcimonie.

    Si boire un verre entre amis fait partie de nos habitudes sociales, évitez de terminer la bouteille et de pleurer sur votre sort dans les bras de votre invité.

    Un degré d'alcoolémie supérieur à la normale va automatiquement faire ressurgir des problèmes et vous saper le moral.

    De plus, un état d'ivresse est un risque évident pour votre vie mais aussi celle de vos proches.

    L'alcoolisme, la prise de drogues ou une utilisation excessive de médicaments ont toujours fait bon ménage avec un état dépressif voire le suicide. Si vous pensez que vous n'arriverez pas à surmonter cette situation et que la détresse vous envahit, courez immédiatement chez votre médecin traitant et expliquez lui en détails ce qui se passe dans votre vie. Une aide vous sera précieuse et vous permettra de vous en sortir rapidement et de rebondir efficacement.

    Les médicaments agissent avec les mêmes conséquences. Et même si certains sont remboursés par la sécurité sociale, ils n'en restent pas moins des principes actifs qui peuvent détruire votre organisme irrémédiablement si vous ne les utilisez pas à bon escient.

    Consultez encore votre médecin pour établir avec lui si vous avez besoin d'un accompagnement médicamenteux.

     

    Si les drogues produisent les mêmes effets et conséquences que celles décrites ci-dessus, elles sont en plus illégales et peuvent donc vous apporter tout un lot de problèmes juridiques et légaux qui ne faciliteront en rien votre retour dans la vie active.

     

    Sans aller jusqu'à la case "Prison", l'usage de stupéfiants entraine une séparation sociale vis à vis des personnes qui vous entourent.

     

    Vu que vous ne pouvez pas les acheter dans le magasin du coin, vous êtes obligé de fréquenter des individus en marge de la société, dans des lieux peu fréquentables et à des horaires décalés ce qui entrainera une rupture avec un mode de vie classique et une perte de repères.

    Se droguer n'est évidement pas la solution.

    Si vous sentez que vous glissez vers cette voie extrême et mortelle, consultez vite les organismes de soutien pour solliciter leur aide.

     

    Drogues Info Service :

     http://www.drogues-info-service.fr/ - 08 00 23 13 13

     

     Pensez à demain

     

    Si vous croyez que la consommation des produits palliatifs peut vous aider à passer un cap difficile, pensez qu'ils peuvent avoir des conséquences sur votre santé dans un avenir plus ou moins proche.

     

    Il serait vraiment dommage qu'une maladie ou des problèmes de santé causés par la consommation excessive d'alcool, de médicaments ou de drogues se déclarent des années plus tard alors que tout vous sourit à nouveau.

     

    Extrait du Guide de Survie 2013 Edité par © 2014, QAPA SA - All rights

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  • 5 astuces pour attirer les chasseurs de têtes !

    Et ci c'était vous qu'il recherche?

    1. Soigner votre référencement en ligne

    Pour Philippe Arsac, c’est une évidence. « Pour qu’un candidat soit approché, il faut qu’il soit identifié comme étant potentiellement intéressant. » Responsable du cabinet EuroWin Consulting Group spécialisé dans l’informatique, ce chasseur de têtes distingue stratégies "passives" et "actives". Pour débuter, il invite ainsi les candidats potentiels à soigner leur référencement. « Être à jour de sa cotisation des anciens élèves, actualiser sa fonction dans l’annuaire et figurer sur les réseaux sociaux constituent l’approche passive. Ils donnent le moyen d’être identifié facilement. » Il cite aussi la participation à des salons, l’écriture d’articles ou de livres comme d’autres moyens indirects de se faire repérer. Objectif : que votre nom génère des entrées variées et flatteuses dans un moteur de recherche...

    2. Bien choisir les mots-clés de votre profil

    Mais le candidat désireux d’être "chassé" devra aussi afficher son meilleur profil sur les réseaux sociaux professionnels. Philippe Haustête, auteur du Guide des chasseurs de têtes et des cabinets de recrutement, recommande de soigner quelques mots-clés pour se démarquer. Exemple : insister sur sa mobilité. « Énoncez-la toujours dès le départ, y compris sur votre CV », conseille-t-il. Il est aussi intéressant de mentionner des certifications techniques ou les langues étrangères pratiquées. « Cela sera pour vous un facteur de différenciation important. »

    3. Créer un profil offensif… mais discret

    « Facile à dire quand on est entre deux postes, reconnaît Nadia Boutaleb, associée au cabinet AlterView Conseil à Lille. Mais certains cadres, encore en poste, préfèreront ne pas éveiller les soupçons de leur direction ». Ce chasseur de têtes, spécialisé dans les métiers de la comptabilité, la finance et la gestion, leur suggère une parade acceptable. « Il n’est pas rare de voir certains profils volontairement discrets sur le nom de leur employeur et qui ne postent leur CV qu’avec leur prénom, l’initiale de leur nom et une adresse mail dédiée à leur recherche. On comprend leur besoin de discrétion et cela ne nous empêche pas de les contacter, surtout s’ils rafraîchissent leur CV régulièrement pour toujours apparaître dans les profils les plus récents. »

    4. Entretenir son réseau

    Malgré tout, il serait dommage de négliger son autre réseau, celui que l’on côtoie dans la "vraie vie". Qu’ils soient en poste ou non, Franck Fiszel conseille aux candidats en quête de nouveaux horizons de le faire savoir autour d’eux. « Le réseau, c’est avant tout un échange qui commence avec ses collègues de travail, observe ce coach, fondateur du club Cap Avenir Réseau. Toutes les occasions sont bonnes, comme les séminaires professionnels ou les réunions d’anciens de son école. Laissez entendre que vous cherchez de nouveaux horizons et cela peut finir par se savoir... »

    5. Les appeler directement

    « Envoyer un dossier à un cabinet reste, enfin, un moyen direct, conclut Philippe Arsac. Je conseille d’avoir une approche ouverte, car un chasseur de têtes est un professionnel qui vous aidera à vous positionner. » Pourquoi ne pas tenter ? « Il faut dissiper certains fantasmes sur la profession, sourit Nadia Boutaleb. La plupart des cabinets sont faciles à trouver.» Les candidats, en poste ou pas, peuvent alors envoyer une candidature ou contacter ces cabinets en toute discrétion. « C’est plus facile quand on a encore un emploi, car on dispose encore d’une certaine zone de confort. Ceux qui sont en recherche hésitent parfois un peu. À tort. »

     

    Source : cadremploi.fr


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