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    Ca y est...

    Ca y est... Comme des millions de Français, vous êtes dans une des situations, les plus délicates dans le parcours professionnel d'une personne : vous êtes au chômage !

    Mais cette situation est loin d'être désespérée et inéluctable.

    Le chômage touche 9 personnes sur 10 au cours d'une vie. Certains sont mieux préparés, mieux entourés ou tout simplement plus chanceux.

    La première erreur lorsque l'on apprend la triste nouvelle de la perte d'un emploi serait de réagir aussitôt et de commencer à courir dans tous les sens.

     

    STOP !

    La première règle est donc de tout arrêter, de s'assoir et de réfléchir posément à la situation.

    La philosophie du « STOP » vous permet de faire face à toutes les situations d’urgence, de panique et de stress. Pour prendre les bonnes options et faire des choix judicieux, vous devez vous donner suffisamment de temps de réflexion pour établir votre plan d'attaque et votre riposte.

    Une fois votre réflexion totalement aboutie, vous aurez tout le loisir de réagir vite et efficacement.

     


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  • Le senior du 21ème siècle n'est pas une mamie gâteuse. Le nouveau senior utilise, achète et adore le robot, le jean et l"IPOD...


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  • Plus de la moitié des candidats à une offre d'emploi n'obtiennent jamais de réponse selon un sondage. De quoi décourager les demandeurs d'emploi les plus déterminés.

    Selon un sondage Opinionway publié ce lundi 3 février, il est rare que les demandeurs d'emploi au chômage obtiennent une réponse lorsqu'ils postulent. 47% des demandeurs d'emploi en ont "rarement" une et 6% "jamais". Ce chiffre monte même à 72% chez les chômeurs alors qu'il est de 51% pour les salariés et 50% pour les étudiants.

    A l'inverse, 46% des sondés, qu'ils soient salariés, indépendants, étudiants ou demandeurs d'emploi, disent avoir régulièrement des réponses, et ce, qu'elles soient positives ou négatives (4% de manière systématique et 42% souvent mais pas toujours).

    Pour 78% des personnes interrogées à la recherche d'un poste, les entreprises ne répondent pas parce que "seuls les candidats retenus les intéressent", 39% estimant qu'elles n'ont pas le temps. Lorsqu'une entreprise refuse leur candidature, 89% jugent pourtant important de connaître les raisons de cette décision. D'abord pour mieux comprendre ce qui leur fait encore défaut et s'améliorer et pour améliorer leur recherche d'emploi. Ils sont aussi 41% à y voir une question de respect et 17% une façon de garder le moral.

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  • Je suis senior.

    Quels atouts dois-je mettre en avant ?

    En tant que senior vous avez de sérieux atouts qu’on ne pense pas forcément à mettre en évidence.

    • Axer votre propos sur les avantages liés à votre profil de senior
    • Pensez que vous avez un profil d’expert avec une longue expérience
    • Vous avez plusieurs cartes en main, utilisez-les selon les recruteurs et le profil du poste. Souvent après 25 ans d’activité, vous conjuguez de nombreuses compétences et parfois plusieurs métiers.


    Vos atouts :

    1. Allègements de charges : en matière de recrutement, les mesures pour l’emploi des seniors permettent à l’employeur qui recrute de bénéficier d’allègements de charges, avec pour conséquence, l’éventuelle possibilité de revoir le salaire à la hausse. Notre conseil :

    • ne pas hésiter lors d’un entretien, à signaler l’existence de ces mesures.
    • ne pas perdre de vue qu’un emploi, même à temps partiel, permet de bénéficier d’allocations compensatrices jusqu’à épuisement des droits (valable uniquement pour les plus de 50 ans).

    2. Disponibilité : le quinqua ne s’inscrit pas de la même façon dans une projection de carrière. En d’autres termes, il sera peut être plus fidèle à l’entreprise qu’un jeune.

    3. Transfert de compétences : Véritable courroie de transmission au sein de l’entreprise, le senior en raison de son expérience, est souvent le mieux placé pour transmettre aux plus jeunes son savoir faire.


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    L’expression "faire le deuil" est utilisée dans le cas d'une séparation : la mort d’un proche ou une séparation amoureuse. Cette disparation doit être acceptée, analysée, digérée pour pouvoir continuer à vivre et aller de l'avant.

     Cela s'applique également lors d’une rupture professionnelle.

     Quand on perd son travail, on perd bien sûr son poste et son salaire mais aussi ses repères, ses collègues et notre ego en prend un sacré coup. On se rend compte tout à coup que ce travail prenait une place énorme dans sa vie et sa disparition provoque un véritable traumatisme lié à la perte de cette partie de vie sociale. Il faut maintenant apprendre à vivre sans ce travail.

     Faire le deuil, cela veut dire travailler sur soi pour fermer le livre de l’avant et se préparer dans les meilleurs conditions pour l’avenir.

     


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